Un Monsieur de 44 ans, occupant d’un bien partiellement acquis lors de la succession de son père, partageait la propriété avec sa mère et ses sœurs. Il a choisi de racheter les parts de sa mère et de ses sœurs à la suite d’un démembrement .
Sans crédit à son nom, juste avec les 4 soultes à financer, il a fait un rachat de soulte. S’il avait un crédit, il aurait pu le rajouter à l’opération pour limiter le saut de charge.
En décidant d’un rachat de soulte, le notaire a dirigé l’opération vers le rachat de crédit alors que le compromis l’aurait dirigé vers l’immobilier. La différence est fondamentale car le rachat de crédit accepte un taux d’endettement plus élevé que le crédit immobilier.